
Au-delà des probabilités
AU-DELA DES PROBABILITES
Le message de Dieu dans les mathématiques
Par Abdullah ARIK
Séries
1 :
La
déclaration d'ouverture du Coran (la Basmalah)
Traduction : soumission-a-dieu.ch
Table des matières
Avant-propos
- Introduction
- Un livre unique
Une Ecriture sans non-sens
Informations essentielles
Découverte du système mathématique - Une conception remarquable
Exemples
Valeur alphanumérique
Un phénomène similaire dans les précédentes Ecritures ?
Pourquoi 19 ?
Conclusions - La déclaration d'ouverture
Conception mathématique de la Basmalah
Coïncidence ou conception divine
La Basmalah manquante
Un phénomène unique
Les quatre mots de la Basmalah
Une corrélation avec les attributs de Dieu
Conclusion
Remerciements
Sources
Avant-propos
Cette discussion ne serait pas productive si elle ne nous mènerait pas à nous rendre compte de la sagesse de notre Créateur et du merveilleux savoir de l'Auteur du monde qui, au commencement, a créé le monde à partir de rien. Il a tout exprimé en nombres, en mesures et en poids. Et ensuite au temps et à l'âge de l'homme, il a formulé une science qui plus en l'étudie plus elle nous révèle de nouvelles merveilles.
Hrovista de Gandersheim (980 apr. J.-C.)
Chacun de nous, à un moment ou un autre, a bien été obligé de contemplé la création. Des questions telles que le but de nos vies et l'existence de Dieu ont été méditées depuis des temps immémoriaux. Ils ont toujours existé, ceux qui choisissent d'interpréter l'harmonie et l'ordre du cosmos comme un hasard de la nature, mais une observation plus rapprochée démontre clairement qu'il y a une conception et par conséquent un concepteur. Les découvertes qui sont faites sur toutes les frontières de la science sont en train de rendre cette vision plus claire chaque jour.
La plupart des scientifiques contemporains sont agnostiques et s'ils professent une croyance religieuse, ils gardent la science et leur religion dans des compartiments totalement séparés de leurs vies. L'opinion scientifique conventionnelle considère les mathématiques comme étant le plus grand exemple de domaine où la raison est suprême, où les émotions n'entrent pas en ligne de compte, où on sait avec certitude et où on sait que l'on sait ; et où les vérités d'aujourd'hui seront des vérités pour toujours. Cette opinion considère la religion, par contraste, comme un domaine de pures croyances qui n'est pas affecté par la raison. Donc, dans l'opinion des scientifiques, toutes les religions sont égales parce que toutes ont été incapables de vérification ou de justification.
Pour qu'un sujet soit un fait prouvé, que ce soit une loi de la physique ou les dix commandements de la Torah, preuve doit être faite. La preuve implique, fondamentalement, qu'une déclaration est vraie sans aucune ombre de doute. C'est une validation et une certification. C'est le sceau de l'autorité, le pouvoir mathématique, le voltage électrique qui vitalise l'affirmation statique de n'importe quel sujet. La preuve est, par conséquent, une célébration du pouvoir de la raison à l'état pure.
La preuve est une procédure par laquelle une proposition concernant la réalité invisible peut être irrévocablement établie par un procédé de déduction et de conclusion et peut être, par conséquent, rendue acceptable pour tous. Etant donné qu'une question mathématique n'aura qu'une seule réponse définie, alors différents mathématiciens, utilisant de différentes méthodes, travaillant dans différents siècles et lieux arriveront à la même réponse. Ainsi, une preuve mathématique n'est pas affecté par le temps et l'espace.
Galilée a déclaré que les mathématiques sont le langage dans lequel Dieu a écrit l'univers. Ceci est désormais un fait évident. L'univers s'exprime naturellement dans le langage des mathématiques. La force de gravité diminue plus la distance augmente, les planètes tournent autour du soleil en ellipses, etc. Les mathématiques sont, par conséquent, un équivalent symbolique de l'univers. C'est la science de la quantité et de l'espace, des modèles et des structures. C'est la méthodologie où l'hypothèse mènent à un conclusion.
Les mathématiques fournissent une preuve irréfutable d'un sujet en considération. Elles forment toute la structure du monde, contenant des vérités qui seront valides pour toujours. Les mathématiques font parties intégrantes de toutes les sciences, les quelques exemples sont : la médecine, l'astronomie, la physique, l'ingénierie, la sociologie et la psychologie.
Les mathématiques sont une science de l'infini. Son but est la compréhension symbolique de l'infini avec de moyens humains (êtres finis). Maintenant, elles contribuent à élaborer une théologie qui manifeste la nature de Dieu et la relation entre Dieu et l'homme.
Nous sommes dans l'age de la science et de la raison. Il est impossible pour une personne intelligente d'accepter l'existence de Dieu ou d'une origine divine d'une religion avec une foi aveugle. Nous avons besoin d'une preuve venant de Dieu Lui-même et s'Il est vraiment ce qu'Il nous dit qu'Il est, à savoir omniscient et omnipotent, Il devrait être capable de nous donner une preuve écrasante.
La seule Ecriture qui est toujours préservée dans son ensemble et dans sa langue originelle est le Dernier Testament. C'est un fait que la Torah originale des prophètes d'Israël est perdue, nous ne possédons pas l'Evangile de Jésus, mais celui de ses disciples et nous ne possédons pas non plus les Ecritures originales des Hindous et des Bouddhistes. Ce que nous avons maintenant ce sont des écrits d'humains qui professent connaître les Ecritures originales.
Le Dernier Testament a été entré dans un ordinateur dans les années 70. Un phénomène unique, qui n'a jamais été observé dans aucun autre livre, a été découvert. Depuis, une évidence irréfutable en est ressortit : le langage original de la révélation a été écrit de manière à se conformer à un modèle mathématique complexe. Tandis que les recherches continuaient, il a été découvert que chaque élément du livre était composé mathématiquement - les chapitres, les versets, les mots, le nombre de certaines lettres, le nombre et la variété de certains noms divins, l'orthographe unique de certains mots et beaucoup d'autres éléments. Grâce à ce codage mathématique minutieux, la moindre déformation du texte ou de l'arrangement physique du Coran est immédiatement exposé. La composition mathématique ne laisse aucun doute quant à son origine divine. Les nombres ne mentent pas.
M. Arik est particulièrement bien qualifié pour cette tâche. Sa contribution à ces recherches n'a été surpassé que par l'homme qui a découvert le code à l'origine dans les années 70, Dr Rashad Khalifa. Dr Khalifa a été préparé à la recherche scientifique initiale qui a mené à la découverte de ce code par sa formation rigoureuse pour le doctorat de biochimiste. L'expérience de M. Arik, en tant qu'ingénieur consultant en géostatistique, en exploitation minière et en application informatique, lui a donné la connaissance et la curiosité scientifique pour étudier, de manière objective et plus approfondie, le code. Son étude, avec celui d'autres personnes, a fourni des résultats stupéfiants.
Les mathématiques, la science de l'infini, ont ainsi dévoilé l'un des plus grands miracles connu par l'humanité, fournissant ainsi la preuve ultime - sans aucune ombre de doute - de l'existence de Dieu l'unique et de Son dernier message à l'humanité.
Shakira Karipineni, Docteur en médecine
1. Introduction
Les mathématiques est le langage dans lequel Dieu a écrit l'univers.
Galilée (1567-1642 apr. J.-C.)
A un certain point de sa vie, quiconque étant capable de réflexion médite sur sa propre création, sur celle de tout ce qu'il voit autour de lui et sur l'existence d'un créateur. C'est naturel pour les gens de méditer sur leurs origines et la raison de leurs existences. Pour certains, les explications que leur fournit la religion dans laquelle ils sont nés leur suffisent, tandis que d'autres peuvent être satisfaits avec la théorie selon laquelle la vie a évolué sur la planète grâce à ses circonstances particulières. Toutefois, beaucoup de gens, y compris ceux qui croient aux doctrines religieuses ou aux théories scientifiques, ne sont pas convaincus, peut-être inconsciemment, des explications qui leur sont fournies. Bien qu'ils entretiennent dans leurs esprits beaucoup de questions qui restent sans réponses, la majorité de ceux-ci suivent la foule - en supprimant leurs doutes et leurs questions. Seule une minorité recherche activement la vérité et essaie de trouver les réponses de ces questions séculaires.
Pour beaucoup de gens l'ordre, l'harmonie et la conception parfaite des choses autour d'eux démontre l'impossibilité de croire à la théorie de l'évolution sans un concepteur. Ainsi, ils se sentent comme le professeur Edwin Conklin qui avait dit une fois : « La probabilité selon laquelle la vie serait due à un accident est comparable à la probabilité du plus grand dictionnaire existant qui aurait été produit à la suite d'une explosion dans une imprimerie. » Pourtant, quand ces gens gens se tournent vers la religion, ils se rendent compte que la plupart de leurs questions restent sans réponses. De plus, il y a tellement de religions, chacune prêchant être la bonne voie. Cela rend le choix extrêmement difficile.
Aujourd'hui toutes les religions ne sont rien d'autre que des collections de traditions, plutôt que des faits étant donné qu'avec le temps elles ont perdu leur message original. Une telle corruption dans la religion est causée par l'ego de l'être humain et ses inventions qui ont fini par déformer la vérité pour des profits politiques et économiques. A cause de cela, les gens qui veulent se tourner vers les fondements de la religion sont considéré comme non conformes à la société.
Beaucoup d'entre nous ont le sentiment que les questions de leurs esprits au sujet de l'existence de Dieu seraient résolues s'ils étaient témoins d'un miracle de Dieu, similaire à ceux qui ont été accompli par Moïse ou Jésus comme on peut le lire dans les Ecritures. Nous pourrions aussi penser que ce n'est pas vraiment juste pour notre génération que Dieu n'envoie plus de miracles. Cependant, soyons sérieux. Avec toutes les avancées scientifiques et technologiques que nous avons aujourd'hui, qui croirait aux anciens types de miracles telles que la guérison de malades ou la résurrection de morts ? Ce serait plus logique pour Dieu d'envoyer des miracle qui sont compatibles pour les esprits et le style de vie des gens de nos jours et de notre âge.
L'inexistence d'un miracle moderne contredirait l'idée que Dieu est le Plus Sage. Cela donnerait aussi l'impression que Dieu ne peut pas s'adapter à notre niveau supérieur de réflexion Dieu ne serait-il capable de miracle que pour les esprits plus simples et plus anciens ? Dieu aurait-il livré Ses miracles pour quelques petites générations, alors que notre génération est plus grande en nombre et que les générations à venir seront plus grandes encore ?
Nous vivons à l'âge des sciences et des ordinateurs. Nous nous considérons comme des êtres intelligents qui n'acceptent pas des idées qui ne peuvent pas être prouvés. D'un autre côté, nous acceptons sur le fondement de la foi beaucoup de notions qui défient le bon sens. Nous somme fiers de nous parce que nous en connaissons plus au sujet de la science et de la technologie que nos parents et nos ancêtres. Nous acceptons sans hésiter ce qui est mieux et plus avancé que ce que nos parents ont eu. Pourtant, beaucoup d'entre nous n'hésitent pas à suivre leurs parents quant à la religion, même si cela impliquerait de faire quelque chose à quoi ils ne croient pas entièrement.
L'objectif de ce livre est de présenter au lecteur un système mathématique implanté dans une des Ecritures de Dieu. Ce système mathématique est si entremêlé, si entrelacé et si omniprésent dans cette Ecriture que c'est au-delà des probabilités que ce soit une coïncidence ou une fabrication humaine. Cela prouve ainsi sa divinité et donc l'existence de Dieu. Le système incorporé a été récemment dévoilé à l'aide d'un ordinateur qui a analysé le texte de l'Ecriture. C'est une opportunité parfaite pour les gens qui veulent réaffirmer leur croyance en Dieu et qui ne veulent pas accepter quoique ce soit avec une foi aveugle. Avec cette Ecriture et la nouvelle preuve tangible, une image plus claire émerge : Il n'y a qu'un seul Dieu qui est éternel, omniscient et miséricordieux. Un Dieu qui a le contrôle total sur le moindre détail dans l'univers et qui peut se manifester à tous.
2. Un livre unique
Aujourd'hui, il existe beaucoup d'Ecritures. La Torah pour les Juifs, la Bible pour les Chrétiens, la Bhagavad-Gita des Hindous pour en nommer quelques-uns. Un examen plus approfondi des Ecritures révèle très clairement le fait que toutes ces Ecritures sont des traductions et que les originales ont été perdues avec le temps. La seule Ecriture existante qui soit encore intacte dans la langue originale de sa révélation est le Coran. Le Coran enseigne la Soumission à Dieu seul et il stipule aussi que c'est le Dernier Testament ; il n'y aura plus aucune autre Ecriture venant de Dieu. Peut-être de façon encore plus significative, le Coran vient avec un système mathématique incorporé qui prouve sa divinité.
Bien que le Coran enseigne qu'il est pour tout le monde et toutes les générations, beaucoup de gens le perçoivent comme étant le livre saint des Musulmans et de la religion de l'Islam. La cause principale de cela est que l'Islam, pratiqué aujourd'hui par les Musulmans tout autour du monde, est largement différent de ce qui est présenté dans le Coran. La vraie religion de l'Islam est enfoui sous des piles et des piles de traditions et d'inventions humaines qui ont été conçu pour des profits politiques et économiques. Ce que l'Ouest perçois comme étant l'Islam n'est rien de plus que ces inventions et ces pratiques erronées commises au nom de la religion. Ce ne sont pas des pratiques enseignées par le Coran. Ce serait analogue de regarder à l'arrière d'un miroir - le but original de celui-ci ne serait plus visible.
Une Ecriture sans non-sens
Le Coran montre clairement quelles sont les pratiques et les directives de la religion de la Soumission. Il enseigne l'unité universelle des gens sous un seul Dieu qui est le Créateur. Il respecte les gens de toutes les religions et il leur promet le salut aussi longtemps qu'ils restent justes et qu'ils adorent le Créateur uniquement. La vision universelle du Coran est exprimée dans le verset suivant :
Sûrement, ceux qui croient, ceux qui sont Juifs,
les Chrétiens
et les convertis ; quiconque
(1) croit en DIEU,
(2) croit au Jour Dernier et
(3) mène une vie de droiture, recevra sa récompense de la part de son Seigneur. Ils n'a rien à craindre et ils ne sera pas affligé. (2:62)
Le mot « Islam » est dérivé de la racine arabe « SLM » qui a pour signification, parmi d'autres, paix, pureté, soumission et obéissance. Dans le sens religieux, comme il est utilisé dans le Coran, le mot « Islam » signifie soumission et total dévotion à Dieu seul. De façon similaire, le mot Musulman est utilisé dans le Coran pour décrire quelqu'un qui se soumet à la volonté de Dieu et consacre son adoration à Lui seul. Le Coran considère Abraham, Moïse, Jésus, Mohammed et tous les autres messagers et prophètes, comme des Soumis, y compris leurs fidèles disciples. Donc, bien que les pratiques de chaque religion soient différentes, il y a beaucoup de Soumis Juifs, Soumis Chrétiens, Soumis Musulmans et ainsi de suite. D'après les Ecritures, il n'y a qu'une seule religion devant Dieu - la dévotion de son adoration à Dieu seul. Ceci est le premier commandement de l'Ancien Testament, du Nouveau Testament et du Coran - le Dernier Testament.
Informations essentielles
Le Coran contient 114 chapitres. Son texte original est en arabe. Le chapitre le plus court du Coran contient trois versets, tandis que le chapitre le plus long contient 286 versets. Les premiers chapitres sont plus longs en taille, à l'exception du chapitre d'ouverture. Les chapitres deviennent plus courts vers la fin du livre. La table 1 fait la liste des noms des 114 chapitres avec leurs nombres de versets.
Le Coran est un livre unique dans la mesure où certains de ses chapitres commencent par une lettre ou un groupe de lettres au lieu du texte habituel. Tout au long de ce livre, nous appellerons ces lettres des initiales et les chapitres qui commencent par des initiales, des chapitres paraphés.
Il y a 29 chapitres paraphés dans le Coran. Ces chapitres n'ont pas d'ordre particulier. Le premier chapitre paraphé est le chapitre 2 et le dernier est le chapitre 68. Certains de ces chapitres contiennent les mêmes initiales ou un sous-groupe des initiales utilisées dans d'autres chapitres. Il y a un total de 14 différents jeux d'initiales qui sont composés de 14 lettres arabes différentes. La table 2 fait la liste des 29 chapitres paraphés avec leurs initiales correspondantes. Dans cette table, seuls les équivalents anglais des lettres arabes seront donnés. Une table contenant les lettres arabes et leurs lettres latines approximativement équivalentes est fournie au prochain chapitre.


Depuis la révélation du Coran, beaucoup d'érudits qui étudiaient le Coran essayaient de comprendre, en vain, la signification des initiales et des chapitres paraphés. Cependant, leur signification est restée un mystère jusqu'à récemment.
Découverte du système mathématique
Biochimiste égypto-américain et érudit Musulman, le Dr Rashad Khalifa a commencé la traduction du Coran en anglais au début des années 70. Il était déterminé à trouver une explication aux mystérieuses initiales. Avec cela en tête, il a mis en oeuvre une vaste recherche sur ces initiales après avoir placé le texte du Coran avec les chapitres paraphés dans un ordinateur. Son objectif était de trouver un modèle mathématique qui expliquerait la signification des initiales, bien qu'il n'avait aucune idée de l'endroit où il devait chercher et ce qu'il devait chercher. Après quelques années de recherches, le Dr Rashad Khalifa a publié ses premières conclusions dans un livre intitulé MIRACLE DU CORAN : Signification des alphabets mystérieux en 1973. Bien que ses conclusions indiquaient une corrélation entre les fréquences des initiales, il n'a pas fait le lien entre ces fréquences et un quelconque dénominateur commun. En janvier 1974, il a identifié le nombre 19 comme étant le dénominateur commun des occurrences des initiales à travers le Coran.
Après cette découverte, les recherches continuelle ont dévoilé un système mathématique complexe qui imprègne tout le Coran et y régit chaque élément possible (Khalifa, R., 1981 et 1989). Ce système mathématique remarquable sera examiné dans une série de publications en vue d'un livre.
3. Une conception remarquable
Le texte entier du Coran est composé mathématiquement avec une remarquable complexité. Le fondement de ce système mathématique est le nombre 19. Presque chaque élément du Coran comporte le nombre 19 comme dénominateur commun. Le système mathématique du Coran a de différents niveaux de complexité. Il inclut des nombres qui sont simples ou faciles à obtenir. Il inclut aussi des nombres qui peuvent requérir une programmation informatique pour vérifier s'ils sont des multiples de 19. Donc, il n'y a pas seulement ceux qui ont une grande aptitude aux mathématiques qui peuvent se rendre compte du système mathématique implanté dans le Coran basé sur le 19, mais aussi les gens qui sont uniquement capables de faire des calculs simples.
Exemples
Un des aspects simple et évident de la conception du Coran est représenté par le nombre de ses éléments et le nombre d'occurrences de ses mots-clés. En voici quelques exemples :
- Le nombre de chapitres dans
le Coran est de 114 ou 19 x 6.
- Le nombre total des versets
du Coran est de 6'346 ou 19 x 334.
- Le mot « Dieu » apparaît
dans le Coran 2'698 fois ou 19 x 142.
- La somme de tous les numéros
de versets dans lesquels le mot « Dieu » apparaît s'élève à 118'142 ou 19 x 6'217.
Un autre aspect de cette conception est le nombre d'occurrences des initiales dans les chapitres paraphés. Toutes les initiales apparaissent dans leurs chapitres correspondants en multiples de 19, lorsqu'elles sont examinées comme des groupes particuliers d'initiales. Par exemple, il y a deux chapitres qui sont paraphés avec la lettre Q. Le nombre d'occurrences de cette lettre Q dans chacun de ces chapitres s'élève à 57 ou 19 x 3.
Il y a aussi d'autres aspects de cette conception qui requièrent plus de travail parce que de grands nombres sont impliqués, bien que les opérations en elle-mêmes ne soient rien de plus que de simples additions et divisions. Par exemple, la somme des nombres de versets de chaque chapitre des 114 chapitres du Coran plus la somme de tous les numéros de versets de tous les chapitres est égale à 339'644 ou 19 x 17876. Beaucoup de nombres à additionner pour obtenir le résultat !
Si vous pensez qu'additionner ces milliers de nombres ensemble est une tâche difficile, qu'est-il de les diviser ? Cet aspect de la conception nous entraîne à faire une chaîne de nombres et de la diviser par 19. Retournons au premier exemple, si nous prenons les mêmes nombres utilisés dans la sommation et que nous les mettons côtes à côtes, du premier au dernier chapitre, nous obtenons un nombre à 12'692 chiffres. Le nombre 12'692 lui-même est égale à 19 x 668. Mais plus important, l'entier du nombre à 12'692 chiffres est aussi un multiple de 19. C'est à ce moment où la programmation informatique devient nécessaire parce que de telles opérations seraient quasiment impossible à faire à la main.
Valeur alphanumérique
Un autre aspect de la conception mathématique du Coran est l'utilisation des valeurs alphanumériques des lettres arabes. La valeur alphanumérique d'une lettre est la valeur numérique qui lui est assignée. Quand le Coran a été révélé, quatorze siècles auparavant, les nombres comme nous les connaissons aujourd'hui n'existaient pas. A la place, il y avait un système numérique universellement accepté où les lettres de l'arabe, l'hébraïque, l'araméen et le grec faisaient office de numéraux. Les nombres assignés à chaque lettre sont considérés comme étant leurs valeurs alphanumériques. La table 3 donne les valeurs alphanumériques de chaque lettre de l'alphabet arabe, qui est dans son ordre original. L'ordre des lettres de l'alphabet arabe moderne est légèrement différent. En plus, dans la même table, les équivalents latins des lettres sont données entre parenthèses. Le choix des lettres latines utilisées est simplement basé sur les sons des lettres arabes. Les lettres qui sont doublées sont des lettre qu'on prononce avec emphase.

Un phénomène similaire dans les précédentes Ecritures ?
La composition mathématique d'une Ecriture peut ne pas être exclusive au Coran. Dans un livre intitulé Etude du Mysticisme Juif (Dan, J. et Talmage, F. Eds, 1982), il y a des indications montrant que Rabbi Juda, le Pieux, du 12ème siècle apr. J.-C., a reconnu une structure numérique basé sur le nombre 19 dans la prière du matin. La citation qui suit a été prise des pages 88 et 89 de ce livre :
Le gens [juifs] en France ont pris l'habitude d'ajouter [dans la prière du matin] les mots : « Achrei temimei derekh [bénis soient ceux qui marchent dans le droit chemin] » et notre rabbin, le Pieux, bénie soit sa mémoire, a écrit qu'ils avaient complètement et totalement tort. C'est une grossière falsification, parce que le Saint Nom est mentionné dix-neuf fois [dans cette partie de la prière du matin] ... et de façon similaire on trouve le mot 'Elohim dix-neuf fois dans le périscope du Ve-'elleh shemot... De plus, on trouve qu'Israël est appelé « fils » dix-neuf fois et il y a beaucoup d'autres exemples. Tous ces ensembles de dix- neuf sont entrelacés de façon complexe et renferment beaucoup de secrets et de significations ésotériques ...
Pourquoi 19 ?
Le codage mathématique des Ecritures avec le nombre 19 nous fait nous demander quelle est la raison divine d'utiliser le nombre 19 au lieu d'un autre nombre. En plus d'avoir des propriétés mathématiques uniques, comme le fait d'être un nombre premier, le nombre 19 est la somme des valeurs alphanumériques du mot « UN » dans toutes les langues des Ecritures - araméenne, hébraïque et arabe. Par exemple, en arabe, le mot pour
« UN » est « WAHHD » (prononcé Waahid). En se basant sur la table 3, les valeurs alphanumériques des lettres W, A, HH et D sont respectivement 6, 1, 8 et 4. Ces nombres sommés donnent 19 (6 + 1 + 8 + 4 = 19).
Donc, Le nombre 19 peut être considéré comme étant le Premier Commandement de toutes les Ecritures qui est le suivant : « Il n'y a qu'UN seul Dieu ».
Conclusions
La découvertes de structures mathématiques dans les Ecritures et les liturgies divinement instituées ont eu pour résultat plusieurs conclusions importantes. Certaines de ces conclusions sont exposées dans l'Etude du Mysticisme Juif (ibid., p. 92) :
- Aucun changement ne peut être toléré dan le texte des prières, même le
plus infime, parce que la moindre modification - même une lettre - détruirait
l'harmonie numérique qui est inhérent au texte
...
- La liturgie a pris une nouvelle importance et une nouvelle signification dans le cadre des pratiques religieuses. Une toute nouvelle dimension a été ajoutée, dans ce sens, au service quotidien de prière ; le service de prière a cessé d'être juste une récitation de demandes et de louanges à Dieu, comme dans son ancienne formule, et il est devenu un véhicule pour devenir participant d'une harmonie mystique et divine. Les prière ont soudainement pris une nouvelle profondeur dans la signification et l'importance, ce qui était inimaginable durant le millier d'années après leur formulation.
Le texte mathématiquement composé d'une Ecriture sert à deux choses : d'outil d'authentification et de gardien pour protéger et préserver l'Ecriture. Il est évident que trouver une Ecriture originale qui soit inchangée telle que le Coran est extrêmement important. Ceci peut effectivement être réalisé et prouvé par la remarquable conception du Coran.
Dans les chapitres suivants de ce livre, il sera présenté au lecteur des faits et non des opinions. Toutes les vérifications possibles ont été faites pour assurer l'exactitude de ces faits. Toutefois, il incombe au lecteur de les vérifier, quand c'est possible, aussi bien que de réfléchir sur eux. En effet, cette forte recommandation est donnée par le Coran lui-même :
Vous ne devez accepter aucune information à moins que vous ne les ayez vérifiées par vous-mêmes. Je vous ai donné l'ouïe, la vue, et un cerveau ; et vous êtes responsables de les utiliser. (17:36)
4. La déclaration d'ouverture
Le premier verset du Coran est « Au nom de Dieu, Tout Gracieux, Tout Miséricordieux ». En arabe, il se prononce Bism Allah Ar-Rahman Ar-Rahim et il est communément appelée la Basmalah.
La Basmalah est si spéciale et unique qu'elle constitue la fondation sur laquelle la composition mathématique du Coran, basé sur le nombre 19, est construite. C'est la déclaration d'ouverture du Coran et elle est composée d'exactement 19 lettres arabes. Ces lettres sont données en dessous, dans la table 4, avec leurs équivalents latins approximatifs et leurs valeurs alphanumériques.

Conception mathématique de la Basmalah
Les quatre mots et les 19 lettres ont été mis ensemble selon un système mathématique qui est humainement impossible à composer. Ce système remarquable est basé sur les nombres et les valeurs alphanumériques des lettres qui constituent les quatre mots de la Basmalah. Faisons d'abord un résumé des informations, que nous avons besoin de connaître de la Basmalah, dans la table 5, avant que nous voyons cet incroyable système mathématique.

En utilisant les données des tables 4 et 5, nous obtenons les fait mathématiques, basés sur le nombre 19, suivants :
FAIT 1. La Basmalah se compose de 19 lettres arabes.
FAIT 2. Le numéro de séquence de chaque mot de la Basmalah suivi par le nombre de lettres dont le mot est composé forme un nombre à 8 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 3 2 4 3 6 4 6 = 19 x 19 x 36686
FAIT 3. Remplacez le nombre de lettres de chaque mot du fait 2 par la valeur alphanumérique du mot. Ainsi, le numéro de séquence de chaque mot est suivi par sa valeur alphanumérique totale, pour former un nombre à 15 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 102 2 66 3 329 4 289 = 19 x 5801401752331
FAIT 4. Remplacez la
valeur alphanumérique totale de chaque mot du fait 3 par la valeur
alphanumérique de chaque lettre du même mot. Par exemple, la valeur
alphanumérique totale du premier mot, 102, est remplacé par 2 60 40. De la même
façon, la valeur alphanumérique totale du second mot, 66, est remplacé par 1 30
30 5 et ainsi de suite. Le résultat est un nombre à 37 chiffres qui est un
multiple de 19 :
1 2 60 40 2 1 30 30 5 3 1 30 200 8 40
50 4 1 30 200 8 10 40
= 19 x 66336954226595422109686863843162160
FAIT 5. Insérez le numéro de séquence de chaque lettre de chaque mot avant sa valeur alphanumérique dans le fait 4. Par exemple, les valeurs alphanumériques des lettres du premier mot sont 2 60 40. Quand on insère les numéros de séquences des lettres, on a 1 2 2 60 3 40, où les numéros de séquences sont en italique et les valeurs alphanumériques sont en gras. De la même façon, les valeurs alphanumériques des lettres du second mot sont 1 30 30 5. Quand on insère les numéros de séquences des lettres, on obtient 1 1 2 30 3 30 4 5 et ainsi de suite. Quand tous les nombres sont mis ensemble, le résultat est un nombre à 56 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 1 2 2 60 3 40 2 1 1 2
30 3 30 4 5
3 1 1 2 30 3 200
4 8 5 40 6 50
4 1 1 2 30
3 200 4 8 5
10 6 40
= 19 x 590843895848580686595 ...
FAIT 6. Remplacez la valeur alphanumérique totale de chaque mot du fait 3 par la somme des valeurs alphanumériques de la première et la dernière lettre du mot. Par exemple, la valeur alphanumérique du premier mot, 102, est remplacé par 42. Le nombre 42 est la somme de 2 et 40, qui sont les valeurs alphanumériques de la première et la dernière lettre du premier mot. De la même façon, la valeur alphanumérique totale du second mot, 66, est remplacé par 6, la somme de 1 et de 5. En répétant ce procédé pour les quatre mots de la Basmalah, nous obtenons un nombre à 11 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 | 42 | 2 | 6 | 3 | 51 | 4 | 41 | = 19 x 748755339 |
(2+42) | (1+5) | (1+50) | (1+40) |
FAIT 7. Considérez les
nombres utilisés dans le fait 2 et le fait 3. Dans le fait 2, le numéro de
séquence de chaque mot est suivi du nombre de lettres (3, 4, 6 et 6) du mot.
Dans le fait 3, on remplace le nombre de lettre par les valeurs alphanumériques
des mots (102, 66, 329 et 289). Maintenant, pour ce cas, le numéro de séquence
de chaque mot sera suivi de la somme du nombre de lettres et la valeur
alphanumérique du mot. Donc, le nombre qu'on utilise pour le premier mot sera
105 (3 + 102). Ça sera 70 (4 + 66) pour le second mot, 335 (6 + 329) pour le
troisième mot et 295 (6 + 289) pour le quatrième mot.
Ainsi le numéro de séquence de chaque mot de la Basmalah est suivi, respectivement, des nombres 105, 70, 335 et 295 pour former un nombre à 15 chiffres qui est aussi un multiple de 19 :
1 | 105 | 2 | 70 | 3 | 335 | 4 | 295 | = 19 x 5817212281805 |
(3+102) | (4+66) | (6+329) | (6+289) |
FAIT 8. Considérez le fait 2 où le numéro de séquence de chaque mot de la Basmalah est suivi par le nombre de lettres du mot. Dans ce cas, le numéro de séquence de chaque mot sera suivi du nombre total de lettres des mot précédents (s'il y en a) et de ce mot (total cumulatif). Par exemple, le nombre de lettres des quatre mots de la Basmalah sont, respectivement, 3, 4, 6 et 6. Alors, le total cumulatif du nombre de lettres sera de 3 pour le premier mot. Il sera de 7 (3 + 4) pour le second mot, 13 (3 + 4 + 6) pour le troisième mot et finalement 19 (3 + 4 + 6 + 6) pour le dernier mot. Donc, on note le numéro de séquences de chaque mot suivi du total cumulatif du nombre de lettres correspondant au mot. Le résultat est un nombre à 10 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 | 3 | 2 | 7 | 3 | 13 | 4 | 19 | = 19 x 69858601 |
(3) | (3+4) | (3+4+6) | (3+4+6+6) |
FAIT 9. Ce fait est similaire au fait 8. Dans ce fait, au lieu du total cumulatif du nombre de lettres pour chaque mot, on utilise le total cumulatif des valeurs alphanumériques des lettres correspondant au mot. Par exemple, la valeur alphanumérique des lettres des quatre mots de la Basmalah sont, respectivement, 102, 66, 329 et 289. Alors, le total cumulatif des valeurs alphanumériques des lettres sera de 102 pour le premier mot. Il sera de 168 (102 + 66) pour le second mot, 497 (102 + 66 + 329) pour le troisième mot et finalement 786 (102 + 66 + 329 + 289) pour le dernier mot.
Donc, on note le numéro de séquences de chaque mot suivi du total cumulatif des valeurs alphanumériques des lettres correspondant au mot. Le résultat est un nombre à 16 chiffres qui est un multiple de 19 :
1 | 102 | 2 | 168 | 3 | 497 | 4 | 786 | = 19 x 58011412367094 |
(102) | (102+66) | (102+66+329) | (102+66+329+289) |
FAIT 10. La valeur alphanumérique de chaque lettre est suivie par son numéro
de séquence (de 1 à 19) dans la Basmalah pour
former un nombre à 62 chiffres qui est multiple de 19. Les numéros de séquences
sont en gras :
2 1 60 2 40 3 - 1 4 30 5 30 6 5 7 - 1 8 30 9 200 10 8 11 40 12 50 13 - 1 14 30 15 200 16 8 17 10 18 40 19 = 19 x 113696858647647 ...
NDLT : Les tirets dans le nombre ci-dessus, ainsi que ceux dans les nombres qui suivront, ne sont pas dans l'oeuvre originale. Ils ont été ajoutés pour améliorer la lisibilité, séparant la représentation numérique de chaque mot de la Basmalah.
Dans ce fait, chacun des quatre mots de la Basmalah est souligné pour montrer les nombres représentant ces mots. Cette information sera utile pour comprendre le prochain fait.
FAIT 11. Insérez le numéro de séquence de chaque mot (1, 2, 3 et 4) à la fin des nombres soulignés du fait 10, tout en gardant tous les nombres tels quels. Le résultat est un nombre à 66 chiffres qui est un multiple de 19. Les numéros de séquences des nombres sont en italique :
2 1 60 2 40 3 1 - 1 4 30 5 30 6 5 7 2 - 1 8 30 9 200 10 8 11 40 12 50 13 3 - 1 14 30 15 200 16 8 17 10 18 40 19 4 = 19 x 1136968584963 ...
FAIT 12. Considérez les nombres du fait 11 et remplacez les numéros d séquences des mots (1, 2, 3 et 4) avec leurs valeurs alphanumériques (102, 66, 329 et 289), tout en gardant tous les autres nombres tels quels. Le résultat est un nombre à 73 chiffres et aussi un multiple de 19 :
2 1 60 2 40 3 102 - 1 4 30 5 30 6 5 7 66 - 1 8 30 9 200 10 8 11 40 12 50 13 329 - 1 14 30 15 200 16 8 17 10 18 40 19 289 = 19 x 113696858432 ...
FAIT 13. Cette fois-ci changeons les valeurs alphanumériques des mots (102, 66, 329 et 289) de place dans le fait 12 et faisons-les précédez les mots, au lieu de les mettre à la suite de ceux-ci. Le nombre résultant, toujours à 73 chiffres, est aussi un multiple de 19 :
102 2 1 60 2 40 3 - 66 1 4 30 5 30 6 5 7 - 329 1 8 30 9 200 10 8 11 40 12 50 13 - 289 1 14 30 15 200 16 8 17 10 18 40 19 = 19 x 5379790738 ...
FAIT 14. Pour chaque mot de la Basmalah, notez ce qui suit :
- Le nombre de lettres du mot
- La valeur alphanumérique totale du mot
- La valeur alphanumérique de chaque lettre du mot
Par exemple, considérez le premier mot de la Basmalah. Il est composé de 3 lettres. La valeur alphanumérique totale de ces lettres est de 102. Les valeurs alphanumériques individuelles de chaque lettre sont, respectivement, 2, 60 et 40. Donc, on note 3 102 2 60 40 pour le premier mot et ainsi de suite. Le nombre entier comporte 48 chiffres et il est un multiple de 19. Voici ce nombre avec chaque mot souligné séparément :
3
102 2 60 40 - 4 66
1 30 30 5 - 6 329 1 30 200 8 40 50 - 6 289 1 30 200 8 10 40
= 19 x
16327686340 ...
FAIT 15. Dans le fait 14, les valeurs alphanumériques totales des mots sont
en gras. Maintenant, nous attirons votre attention sur ces nombres en gras que
nous plaçons en dernière position de chaque mot souligné. Le nombre résultant,
toujours à 48 chiffres, est aussi un multiple de 19 :
3 2 60 40 102 - 4 1 30 30 5 66 - 6 1 30 200 8 40 50 329 - 6 1 30 200 8 10 40 289
= 19 x 17160005390 ...
FAIT 16. Représentons chacun des quatre mots de la Basmalah par les numéros de séquences des lettres dont ils sont composés. Par exemple, le premier mot est représenté par 123, étant donné qu'il comporte les trois premières lettres de la Basmalah. Le second mot est représenté par 4567 étant donné qu'il comporte les lettres 4, 5, 6 et 7. De la même façon, le troisième mot est représenté par 8910111213 et le quatrième mot par 141516171819, étant donné qu'ils contiennent, respectivement, les lettres 8 à 13 et 14 à 19. Si on additionne ces quatre nombres représentant les mots de la Basmalah, le résultat est un nombre à 12 chiffres qui est un multiple de 19 :
123 + 4567 + 8910111213 + 141516171819
= 150426287722 = 19 x 7917173038
FAIT 17. Considérez les nombres qui représentaient chaque mot dans la Basmalah dans le fait 16. Au lieu d'additionner ces nombres, on note chacun d'eux suivi par le numéro de séquence du mot. Par exemple, le premier nombre, 123, qui représente le premier mot, est suivi par 1. Le second nombre, 4567, qui représente le deuxième mot, est suivi par 2 et ainsi de suite. Le résultat est maintenant un nombre à 33 chiffres et aussi un multiple de 19 :
1 2 3 1 - 4 5 6 7 2 - 8 9 10 11 12 13 3 - 14 15 16
17 18 19 4
= 19 x
64813512047900 ...
FAIT 18. Ce fait est basé sur trois nombres seulement. Nous savons que la Basmalah est composé de quatre mots, 19 lettres avec une valeur alphanumérique totale des 786. Maintenant, mettons ces nombres ensemble. Le résultat est un nombre à 6 chiffres et un multiple de 19 :
4 19 786 = 19 x 22094
FAIT 19. La Basmalah est le verset 1 du Coran. Elle comporte 19 lettres arabes. Ces 19 lettres constituent les quatre mots dont les nombres de lettres respectifs sont 3, 4, 6 et 6. En se basant sur ces informations, notons 1 pour le numéro du verset, suivi par 19 pour le nombre de lettres et suivi par 3, 4, 6 et 6 pour les lettres de chaque mot de la Basmalah. Le résultat, comme suit, est un nombre à 7 chiffres :
1 19 3466 = 19 x 19 x 19 x 174
Comme nous le voyons, le nombre n'est pas seulement une fois ou deux fois, mais trois fois un multiple de 19. Est-ce plausible qu'un système mathématique si complexe, entrelacé et absolument redoutable soit une pure coïncidence ?
Coïncidence ou conception divine ?
C'est vraiment incroyable que les quatre mots et les 19 lettres de la Basmalah aient pour résultat autant de combinaisons numériques basées sur le nombre 19. Ces combinaisons ne paraissent pas non plus incohérentes. Elles sont même ordonné. Par exemple, regardons les nombres des faits 2 à 9. Comme vous pouvez le constater, les nombre dans ces faits sont dans le même format :
1 ? 2 ? 3 ? 4 ? = n
Les nombres 1 à 4 représentent les quatre mots de la Basmalah. Les points d'interrogation représentent n'importe quel nombre entier. Le nombre « n »qui en résulte représente un multiple de 19. Il y a seulement deux explications possible au fait que ces nombres dans les faits 2 à 9 soient dans ce format. Une des explications serait de dire que tout cela n'est que coïncidence. Après tout, des choses miraculeuses arrivent parfois qu'on ne peut pas expliquer facilement, voire pas du tout. La seule autre explication est que la Basmalah a été délibérément structurée de manière à avoir pour résultat ce remarquable système mathématique. Essayons de trouver quelle est l'explication qui a le plus de sens en se basant sur la théorie des probabilités.
D'abord, quelle est la probabilité (chances) que la composition mathématique de la Basmalah apparaisse par coïncidence ? Peut-on calculer cette probabilité ? Si nous le pouvons, comment ? Partant de l'hypothèse d'une apparition fortuite, nous pourrons, alors, traiter chaque nombre des faits 2 à 9 comme nombre aléatoire. La probabilité que quelques nombres aléatoires soient non seulement dans un certain format, mais qu'en plus ils aient pour résultat un nombre « n » qui est multiple de 19, sera difficile à calculer à moins que nous fassions quelques suppositions pour faciliter le problème. Par exemple, la plus grande probabilité (les meilleures chances) d'obtenir « n » est de supposer que les quatre nombres représentés au-dessus par les points d'interrogation sont de simples chiffres (0 à 9). Dans ce cas, le nombre « n » qui en résulte se composera de 8 chiffres étant donné que nous savons que les quatre autres nombres sont aussi des chiffres (1 à 4). A ce moment là, on peut facilement calculer la probabilité de 8 nombres aléatoires qui ont pour résultat le nombre « n » dans le format désiré. Voyons comment nous pouvons faire cela.
Imaginez que nous jouions à la loterie. Cette loterie requiert que nous choisissions au hasard 8 nombres qui sont entre 0 et 9. Quiconque satisfait les conditions suivantes gagne le gros lot :
- Le premier nombre doit être 1.
- Le troisième nombre doit
être 2.
- Le cinquième nombre doit
être 3.
- Le septième nombre doit être 4.
- Tous les nombres lorsqu'ils
sont mis côtes à côtes doivent former un nombre qui est un multiple de 19.
Les numéros de loterie à 8 chiffres résultants peuvent varier de 00000000 à 99999999. Cela veut dire qu'il y a 100 millions de résultats ou combinaisons possibles. Combien de fois les conditions gagnantes susmentionnées seront-elles satisfaites parmi toutes ces combinaisons ? Si nous connaissions la réponse, nous pourrions alors déterminer la probabilité ou les chances de gagner à la loterie. Afin de répondre à cette question, nous avons écrit un programme informatique qui passe en revue chaque nombre de 0 à 99'999'999 et qui détermine tous les nombres qui satisfont les conditions désirées. Ce programme n'a trouvé que 527 nombres répondant à ces conditions qui sont compris entre 10'203'247 (première combinaison possible) et 19'293'949 (dernière combinaison possible). Donc, les chances de gagner à cette loterie s'élèvent à 527 sur 100 millions ou 1 sur 189'753.
A partir de ces informations, nous pouvons dire que la probabilité d'apparition du phénomène mathématique, décrit dans le fait 2, est de 1 chance sur 189'753. La probabilité que le phénomène mathématique, décrit dans le fait 2 et le fait 3, apparaisse par hasard est la même que de gagner deux fois à la loterie. Pour déterminer la probabilité de gagner deux fois à la loterie, on multiplie 189'753 par 189'753 :
189'753 x 189'753 = 36'006'201'009
En d'autres termes, la probabilité que le phénomène mathématique apparaisse par hasard dans le fait 2 et le fait 3 est de moins de 1 chance sur 36 milliards. A titre de comparaison, à la loterie de l'état de Californie où six nombres sur 51 sont tirés au sort, on doit acheté 18 millions de tickets à 1$ pour cocher toutes les combinaisons à 6 chiffres possibles pour gagner à coup sûr le grand prix. Donc, les chances de gagner à loterie de Californie, 1 chance sur 18 millions, sont bien meilleures que les chances de voir apparaître le phénomène mathématique dans le fait 2 et le fait 3 par hasard.
189'753 x 189'753 x 189'753 x 189'753 = 6'832'284'660'060'777
Le nombre ci-dessus est près de 7 millions de milliards ! Si vous vous demandez ce que cela représente, vous n'êtes pas le/la seul(e). C'est tout simplement inimaginable. Par conséquent, il y a presque 1 chance sur 7 millions de milliards que le fait 2, le fait 3 et le fait 4 apparaissent par hasard. Comme vous pouvez le voir, en considérant seulement trois des quelques faits mathématiques, nous nous rendons compte que la probabilité que de telles combinaisons numériques apparaissent par hasard est extrêmement minuscule. Il est absolument évident que plus en prendra de faits mathématiques en considération plus cette probabilité s'approchera de zéro. Donc, il serait illogique même de suggérer que la composition mathématique de la Basmalah ne soit rien de plus qu'une pure coïncidence.
Si on exclut la possibilité d'une coïncidence, alors nous devons accepter l'autre explication affirmant que la Basmalah a été délibérément structurée de telle façon à ce qu'il en résulte ce système mathématique remarquable. Peut-on aussi exclure la possibilité, pour un système aussi complexe, d'être conçu par qui que ce soit d'autre que Dieu ? Tout ceci sera examiné dans les sections et les chapitres suivants de ce livre. Il est du ressort de chaque individu de tirer ses propres conclusions de ces présentations.
La Basmalah manquante
La Basmalah occupe une position toute particulière dans le Coran. Elle est la déclaration d'ouverture dans chacun des 114 chapitres du Coran, excepté le chapitre 9. L'absence de la Basmalah dans le chapitre 9 avait déconcerté des générations de gens qui avaient étudié le Coran durant ces 14 derniers siècles. En fait, plusieurs théories étaient avancées pour expliquer ce phénomène. Finalement, il s'avère que ceci fait aussi partie de la composition mathématique qui a été incorporée de façon complexe dans le Coran.
Etant donné que le Coran comprend 114 (19 x 6) chapitres, l'absence de Basmalah dans le chapitre 9 devrait avoir pour conséquence un total de 113 Basmalahs dans le Coran, un nombre qui n'est pas multiple de 19. Pourtant, si nous commençons à les compter à partir du chapitre 9, nous trouvons que la Basmalah manquante est compensée, exactement 19 chapitres plus loin, dans le chapitre 27. Ce chapitre contient deux Basmalahs, un au début et un dans le verset 30. Par conséquent, le nombre total de Basmalahs dans le Coran est restitué et s'élève à 114 ou 19 x 6 en comptant la Basmalah additionnelle du chapitre 27.
Il y a non seulement le fait que la Basmalah manquante se trouve 19 chapitres plus loin, mais aussi le fait que la somme du numéro de chapitre et du numéro de verset dans lequel la Basmalah supplémentaire se trouve s'élève à 57 (27 + 30) ou 19 x 3. Ceci est vraiment remarquable et cela nous montre que le Coran est comme un puzzle dont les pièces s'assemblent selon un système mathématique basé sur le nombre 19.
La connexion entre la Basmalah manquante et supplémentaire nous mène à réfléchir de manière plus approfondie sur la conception mathématique de Coran. Si nous additionnons les numéros de chapitres en commençant à partir du chapitre 9 (sans Basmalah) jusqu'au chapitre 27 (avec une Basmalah supplémentaire), le total est de 342 (9 + 10 + 11 + ... + 27 = 342). Ce total est un multiple de 19, comme cela devait être, étant donné que la somme de 19 nombres consécutifs est un multiple de 19. Cependant, ce qui est remarquable c'est que si nous comptons le nombre de mots arabes de la première Basmalah du chapitre 27 à la seconde du verset 30 du même chapitre, nous trouvons que le total est exactement le même que celui du nombre au-dessus, 342 ou 19 x 18.
Le résumé des faits mathématiques dont on a traité dans cette partie est donné dans ce qui suit :
FAIT 20. Il y a 114 (19 x 6) chapitres dans le Coran.
FAIT 21. Il y a 19 chapitres de la Basmalah manquante du chapitre 9 à la Basmalah supplémentaire se trouvant dans le chapitre 27 (les deux inclus).
FAIT 22. La Basmalah supplémentaire se trouve dans le chapitre 27, verset 30. La somme de ces deux numéros s'élève à 57 ou 19 x 3.
FAIT 23. Le nombre de mots arabes de la première Basmalah du chapitre 27 à la seconde du verset 30 du même chapitre est de 342 ou 19 x 18. C'est le même nombre que celui obtenu en faisant la somme de tous les numéros de chapitres depuis le chapitre 9 (sans Basmalah) jusqu'au chapitre 27.
Un phénomène unique
Comme indiqué précédemment, chaque chapitre du Coran commence par une Basmalah, sauf le chapitre 9. Cependant, aucune de ces Basmalahs n'a de numéro de verset qui lui soit attribué, excepté dans le chapitre 1 où la Basmalah est le verset 1. Néanmoins, les Basmalahs sans numéros font partie du Coran. Le fait qu'elles n'aient pas de numéros fait aussi partie de la composition mathématique du Coran. Pour démontrer ce point, nous attribuons un numéro de verset zéro à chacune des Basmalahs sans numéro afin qu'elles puissent être inclue dans notre étude.
FAIT 24. Combinons (mettons ensemble) les numéros de chapitres avec les numéros de versets où la Basmalah apparaît pour chacune des 114 Basmalahs du Coran et additionnons tous ces numéros combinés ensemble. La notion de numéros combinés sera expliquée en dessous avec des exemples.
La première Basmalah apparaît dans le chapitre 1, verset 1. Le numéro combiné pour cette Basmalah est 11, ceci est obtenu en mettant ensemble les deux numéros (1 et 1). La seconde Basmalah se trouve dans le chapitre 2, verset 0. Le numéro combiné pour cette Basmalah est 20. Si nous additionnons les deux nombres 11 et 20, nous obtenons 33. Nous répétons ce procédé pour chaque chapitre. Nous sautons le chapitre 9, étant donné qu'il n'a pas de Basmalah. Par contre, nous incluons le chapitre 27 deux fois, puisque ce chapitre contient deux Basmalah : une dans le verset 0 et l'autre dans le verset 30. Les numéros combinés pour ce chapitre sont 270 et 2730, représentant les deux Basmalahs dans ce chapitre. La dernière Basmalah apparaît dans le chapitre 114, verset 0. Le numéro combiné pour cette Basmalah est 1140. En additionnant tous les 114 numéros combinés, nous obtenons un total de 68'191 ou 19 x 3'589. Ce procédé est démontré dans la table 6.

Ce qui est remarquable au sujet du phénomène ci-dessus c'est que la relation mathématique basée sur le nombre 19 reste vraie si nous répétons le même procédé en utilisant que les chapitres numérotés pairs ou impairs. La total résultant des chapitres impairs est de 35'131 ou 19 x 1'849. Le total pour les chapitres pairs est de 33'060 ou 19 x 1'740.
Les quatre mots de la Basmalah
La fréquence d'occurrence de chaque mot (arabe) de la Basmalah dans tout le Coran (en excluant les Basmalahs sans numéro) est systématiquement un multiple de 19. Ces mots sont ISM, ALLAH, AL-RAHMAN et AL-RAHIM. Leurs sens français sont, respectivement, NOM, DIEU, TOUT GRACIEUX et TOUT MISERICORDIEUX. Notez que nous utilisons ISM (Nom) comme premier mot de la Basmalah, au lieu du mot BISM (Au nom). En d'autres termes, nous utilisons la racine du mot sans le préfixe B (Au) dans ce comptage. La table 7, en dessous, résume les faits mathématiques fondés sur le nombre d'occurrences des mots de la Basmalah.

A présent, détaillons les faits résumés dans la table 7 avec des faits supplémentaires qui rendent ce système mathématique du Coran encore plus incroyable.
FAIT 25. Le premier mot de la Basmalah, ISM (Nom), apparaît dans le Coran exactement 19 fois. Les versets où le mot est cité sont donnés dans la table 8.
FAIT 26. En utilisant les informations de la table 8, notons le numéro de chapitre suivi du numéro de verset dans lequel apparaît le mot ISM pour chacune de ses 19 occurrences, sans répéter le numéro de chapitre s'il y a plus d'un mot ISM dans ce chapitre. Le nombre résultant est composé de 58 chiffres et il est un multiple de 19. Ceci est présenté en dessous avec les numéros de chapitres en gras :
5 4 6 118 119 121 138 22 28 34 36 40 49 11 55 78 56 74 96 69 52 73 8 76 25 87 1 15 96 1 = 19 x 2874305890111 ...

FAIT 27. Le mot ISM (Nom) avec le préfixe B (Au) donne le mot BISM (Au nom). Ce mot apparaît, dans le Coran, dans cette orthographe particulière seulement 3 fois : dans le chapitre 1 verset 1, le chapitre 11 verset 41 et le chapitre 27 verset 30. Si nous additionnons le nombre d'occurrence de ce mot (3) avec les numéros de chapitres et de versets où se trouve le mot, le total s'élève exactement au nombre de chapitres du Coran :
3 + 1 + 1 + 11 + 41 + 27 + 30 = 114 (19 x 6)
FAIT 28. Le second mot de la Basmalah, ALLAH (Dieu), est mentionné dans le Coran 2'698 (19 x 142) fois.
FAIT 29. La somme des numéros de versets où le mot ALLAH (Dieu) apparaît s'élève à 118'123 ou 19 x 6,217. Pour déterminer ceci, nous devons commencer à chercher, à partir du début du Coran et dans chaque verset, l'occurrence du mot « Dieu ». Si « Dieu » est cité dans un verset, que ce soit une fois ou plus d'une fois, alors nous devons additionner le numéro du verset à notre total.
FAIT 30. Le troisième mot de la Basmalah, AL-RAHMAN (Tout Gracieux), est cité dans le Coran 57 (19 x 3) fois.
FAIT 31. Le quatrième et dernier mot de la Basmalah, AL-RAHIM (Tout Miséricordieux), est cité dans le Coran 114 (19 x 6) fois.
Une corrélation avec les attributs de Dieu
Il y a plus de 400 attributs (noms) de Dieu qui sont cités dans le Coran. Monsieur le Professeur Cesar Majul (1983) a examiné les valeurs alphanumériques de ces attributs et il a découvert qu'il y a seulement quatre attributs de Dieu dont les valeurs alphanumériques sont des multiples de 19. Ceci est résumé dans la table ci-dessous.

Nous pouvons voir dans la table 8 et la table 9 ci-dessus que les SEULS attributs de Dieu dont les valeurs alphanumériques sont des multiples de 19 correspondent EXACTEMENT aux fréquences d'occurrences des quatre mots de la Basmalah. Résumons ces faits mathématiques :
FAIT 32. Le premier mot de la Basmalah, ISM (Nom), apparaît dans le Coran 19 fois, et il représente l'attribut de Dieu WAAHID (Un). Les valeurs alphanumériques des quatre lettres arabes du mot WAAHID sont 6, 1, 8 et 4. La somme de ces nombres est de 19. Comme ceci :
6 + 1 + 8 + 4 = 19 = WAAHID (Un)
FAIT 33. Le second mot de la Basmalah, ALLAH (Dieu), apparaît dans le Coran 2'698 ou 19 x 142 fois, et le nombre 2'698 représente l'attribut de Dieu ZOUL FADL AL-'AZIM (Possesseur de l'infinie grâce). Les valeurs alphanumériques des 13 lettres arabes de cet attribut de Dieu sont 700, 6 , 1, 30, 80, 800, 30, 1, 30, 70, 900, 10 et 40. La somme de ces nombres s'élève à 2'698. Comme ceci :
700 + 6 + 1 + 30 + 80 + 800 + 30 + 1 + 70 + 900 + 10
+ 40
=
2698 (19 x 142) = ZOUL FADL AL-'AZIM (Possesseur
de l'infinie grâce)
FAIT 34. Le troisième mot de la Basmalah, AL-RAHMAN (Tout Gracieux), apparaît dans le Coran 57 ou 19 x 3 fois, et le nombre 57 représente l'attribut de Dieu MAJID (Glorieux). Les valeurs alphanumériques des quatre lettres arabes du mot MAJID sont 40, 3, 10 et 4. La somme de ces nombres s'élève à 57. Comme ceci :
40 + 3 + 10 + 4 = 57 (19 x 3) = MAJID (Glorieux)
FAIT 35. Le quatrième et dernier mot de la Basmalah, AL-RAHIM (Tout Miséricordieux), apparaît dans le Coran 114 ou 19 x 6 fois, et le nombre 114 représente l'attribut de Dieu JAAMI (Celui qui convoque, Rassembleur, Editeur). Les valeurs alphanumériques des quatre lettres arabes du mot JAAMI sont 3, 1, 40 et 70. La somme de ces nombres s'élève à 114. Comme ceci :
3 + 1 + 40 + 70 = 114 (19 x 6) = JAAMI (Celui qui convoque, Rassembleur, Editeur)
Conclusion
Le troisième attribut de Dieu, Majid ou Glorieux, donné dans le fait 34 qualifie aussi le Coran (Coran 50:1). Fondé sur ceci, nous pouvons déduire la conclusion suivante de ce phénomène remarquable résumé dans les faits 30 à 35 et tous les autres faits mathématiques présentés dans ce chapitre : L'auteur du Coran est Un, Il est le Possesseur de l'infinie grâce qui a rassemblé le Coran en 114 chapitres.
Ainsi, le code numérique complexe du Coran basé sur le nombre 19 commence au tout premier verset avec la déclaration d'ouverture, la Basmalah, indiquant dès le début au lecteur du Coran qu'il est en train de lire la parole de Dieu. Cependant, ce qui vous a été présenté jusqu'ici est une part infime de cet immense et complexe système mathématique. Ce système mathématique s'étend jusqu'à la fin du Coran. La prochaine fois nous examinerons, si Dieu le veut, ce système remarquable en rapport avec le chapitre d'ouverture du Coran.
Remerciements
Toutes les louanges et tous les remerciements reviennent à Dieu qui m'a permis de travailler sur ce projet. J'aimerais citer le travail du Dr Rashad Khalifa qui a découvert l'existence du système mathématique dans le Coran. A travers ses efforts et ses encouragements avant qu'il se fasse tuer le 31 janvier 1990, beaucoup de personnes ont commencé des recherches sur le système mathématique du Coran. Sur la base de ces recherches, quelques personnes ont été bénies par la découverte de différentes parties de ce système mathématique par la volonté de Dieu. J'aimerai remercier Monsieur le Professeur Cesar Majul et le frère Sharif d'Egypte pour leur contribution à ce tome en particulier.
Pour l'assistance éditoriale, je suis reconnaissant aux personnes suivantes : Gatut Adisoma, Donna Arik, Douglas Brown, Shakira Karipineni, Lydia Kelly, Lisa Spray et beaucoup d'autres de Masjid Tucson. Que Dieu les bénisse tous.
Sources
Dan, J. and Talmage, F. eds, (1982), STUDIES IN JEWISH MYSTICISM, Association for Jewish Studies, Cambridge, Massachusetts.
Khalifa, R., (1973), MIRACLE OF THE QURAN: Significance of the Mysterious Alphabets, Islamic Productions, St. Louis, Missouri.
Khalifa, R., (1981), THE COMPUTER SPEAKS: God' s Message to the World, Renaissance Productions, Tucson, Arizona.
Khalifa, R., (1982), QURAN: Visual Presentation of the Miracle, Islamic Productions, Tucson, Arizona.
Khalifa, R., (1989), QURAN: The Final Testament, Islamic Productions, Tucson, Arizona.
Majul, C. A., (1983), The Names of Allah in Relation to the Mathematical Structure of Quran, Pamphlet, Islamic Productions, Tucson, Arizona.